deshydratation
Published on: mardi 3 mai 2016 //
La déshydratation
1. définition Perte excessive de la teneur en eau de l’organisme Déficit du volume liquidien par déséquilibre du bilan hydrosodé
2. mécanismes et causes a. mécanisme Eau est indispensable à la vie, est le principal constituant de notre organisme Eau est répartie en 2 secteurs :
secteur intracellulaire, qui représente 60% de l’eau totale =eau contenue dans les cellules, secteur riche en sodium secteur extracellulaire, qui représente 40% de l’eau totale = eau contenue dans le plasma, les liquides interstitiels, les liquides digestifs, le liquide céphalo-rachidien Pauvre en sodium Pour que l’état d’hydratation soit constant le bilan de l’eau doit être nul, entrés = sorties Entrée d’eau régulée par la soif Sortie d’eau régulée essentiellement au niveau du rein par élimination urinaire, et par respiration pulmonaire et cutanée, par sudation, par élimination digestive le bilan du sodium doit lui aussi être nul Entrées : apports alimentaires pour moitié par aliments et par adjonction de sel Sorties :
par urines,
sueurs à l’exercice ou en ambiance chaude Or l’altération de la soif et la baisse du pouvoir de concentration des urines entraînent une véritable menace de déshydratation, d’autant plus chez la personne âgée La réserve hydrique est moindre, l’eau totale diminue avec l’age Chez PA : 50% d’eau
Les besoins en eau vont augmenter chez la PA mais difficile car elle ne ressent pas le besoin de boire b. Causes Soit par pertes liquidiennes excessives Soit par insuffisance d’apports en eau et en sel causes naturelles : Vieillissement, diminution du pool hydrique, diminution de la sensation de soif, diminution de concentration du rein, sueurs abondantes causes psychologiques : Inconscience, ignorance, dépression, anorexie, incurie ( manque de soin, laisser aller), confusion, désorientation, démence, trouble de la compréhension et de la communication, tentative de contrôle de l’incontinence causes fonctionnelles :
Mobilité réduite,
diminution des forces de la PA,
diminution de la capacité de coordination des gestes,
diminution de la capacité visuelle,
diminution de la capacité cognitive,
perte d’autonomie causes environnementales : Perte de repères, température extérieure en été, chauffage en hiver causes dues à une affection :
o maladie d’Alzheimer : perte du réflexe de boire, perte de repères et perte de mémoire
o incontinence urinaire o diarrhée, fièvre, vomissements o maladie aigue : fatigue+aliment = la PA boit ou ne boit plus
o problème neurologique : pb moteur, handicap, paralysie, trouble de la déglutition, dysphagie o dyspnée, polypnée ou tachypnée causes latrogènes (causé par des traitements médicaux ou médicaments) : o médicaments : diurétique, laxatifs, antibiotiques parfois diarrhéique
o intervention ou procédures diagnostiques qui nécessitent le jeûne o usage de lavements, restriction hydrique (pour trouble cardiaque)
o régime sans sel (pour trouble cardiaque)
3. signes cliniques Essentiellement : perte de poids, si excède 10% de la perte c’est une déshydratation majeure sensation de soif altérée persistance du pli cutané sécheresse muqueuse buccale réseau veineux s’aplatit hypotension liée à l’hypovolémie, diminution du volume sanguin = tachycardie fièvre, polypnée diminution du tonus musculaire hypotonie des globes oculaires, cernes troubles neuromusculaires (somnolence, trouble de la vigilance, agitation…) oligurie (PA n’urine plus) constipation perte d’appétit, asthénie, désintérêt Niveau biologique : déshydratation intracellulaire marquée par une hypernatrémie déshydratation extracellulaire
4. conséquences et complications perte accrue de la sensation de la soif Plus la déshydratation s’installe, plus PA ressent tardivement besoin de boire conséquences neurologiques : Altération du niveau de conscience, confusion, déclin cognitif, déclin fonctionnel, complication neuroischémique, hémiplégie, coma conséquences CV : Par diminution du flux sanguin et par hémoconcentration, infarctus, phlébite, accidents thromboembolique artériels et veineux, embolie pulmonaire. Conséquence rénale : Insuffisance rénale aiguë, infection urinaire Aggravation de broncho-pneumopathie par diminution des sécrétions bronchiques Surinfection Etat fébrile Escarres car manque d’eau entraîne une perte d’élasticité de la peau Chutes avec malaises par hypotension orthostatique = risque fractures Certaines de ces complications peuvent conduire au décès de la PA 5. traitements a. traitement préventif +++ action du rôle propre IDE o prévenir la perdition anormale de liquide Détection des situations à risque : altération au niveau cérébral, état délirant… Pour les détecter il faut faire une évaluation personnalisée des capacités physiques et psychiques de la PA. o Détection des facteurs d’aggravation Diminution de l’absorption = anorexie Augmentation des pertes liquidiennes = hypersudation, laxatif, diurétique… o Action de prévention ¾ Donner un apport liquidien de 1,5 à 2litres/jour ¾ Augmentation de l’apport d’aliments riches en eau ¾ Programmer des apports en petite quantité mais fréquente ¾ Augmentation des apports en eau si température extérieure élevée ou si chauffage, si fièvre, si patient sous traitement tel que diurétique ou laxatif ¾ Inciter la PA à boire en lui donnant des boissons diversifiées, adaptées à ses goûts • Eau, café, thé, choco, lait, jus de fruit • Penser que l’apport liquidien se fait aussi avec des potages ou bouillons de légumes • Donner sucré, salé selon les préférences • Varier chaud et froid ¾ Donner de l’eau gélifiée en cas de troubles de la déglutition ¾ Veiller à laisser le verre et la carafe à portée de main ¾ Remplir souvent le verre de la PA et la faire boire si nécessaire au cours de la journée car elle n’y pense pas ¾ Essayer de proposer les boissons dans de grands récipients car PA a tendance à boire ce qui lui est offert ¾ Travailler en collabo avec l’ergothérapeute pour pallier aux difficultés de la PA (verre spécial, canard avec bec…) ¾ Mesurer les quantités absorbées (carafe graduée…) ¾ Surveiller le poids régulièrement ¾ Surveiller la concentration et le volume des urines ¾ Surveiller l’état de la muqueuse buccale (spray buccal, glaçons, soins de bouche si nécessaire) ¾ Eduquer et informer la PA et son entourage sur l’importance de l’hydratation Si malgré toutes ces actions la PA ne boit pas ou peu, le signaler au médecin b. traitement curatif Savoir évaluer la déshydratation par la mesure du poids et l’étude du bilan des entrées et sorties des liquides Rôle IDE sur prescription ¾ Réhydrater progressivement la PA en plusieurs jours ¾ PA faiblement déshydratée : o Réhydratation par voie orale, s/c (face ext. de la cuisse) ¾ PA fortement déshydratée : o Réhydratation par voie s/c, IV, orale Parfois recours à la déshydratation par la pose de sondes gastriques en cas de reflux ou de fausse route ¾ Surveiller les effets de la réhydratation : o Disparition signes cliniques o Diurèse abondante o Normalisation du bilan sanguin Traiter la cause de la déshydratation
1. définition Perte excessive de la teneur en eau de l’organisme Déficit du volume liquidien par déséquilibre du bilan hydrosodé
2. mécanismes et causes a. mécanisme Eau est indispensable à la vie, est le principal constituant de notre organisme Eau est répartie en 2 secteurs :
secteur intracellulaire, qui représente 60% de l’eau totale =eau contenue dans les cellules, secteur riche en sodium secteur extracellulaire, qui représente 40% de l’eau totale = eau contenue dans le plasma, les liquides interstitiels, les liquides digestifs, le liquide céphalo-rachidien Pauvre en sodium Pour que l’état d’hydratation soit constant le bilan de l’eau doit être nul, entrés = sorties Entrée d’eau régulée par la soif Sortie d’eau régulée essentiellement au niveau du rein par élimination urinaire, et par respiration pulmonaire et cutanée, par sudation, par élimination digestive le bilan du sodium doit lui aussi être nul Entrées : apports alimentaires pour moitié par aliments et par adjonction de sel Sorties :
par urines,
sueurs à l’exercice ou en ambiance chaude Or l’altération de la soif et la baisse du pouvoir de concentration des urines entraînent une véritable menace de déshydratation, d’autant plus chez la personne âgée La réserve hydrique est moindre, l’eau totale diminue avec l’age Chez PA : 50% d’eau
Les besoins en eau vont augmenter chez la PA mais difficile car elle ne ressent pas le besoin de boire b. Causes Soit par pertes liquidiennes excessives Soit par insuffisance d’apports en eau et en sel causes naturelles : Vieillissement, diminution du pool hydrique, diminution de la sensation de soif, diminution de concentration du rein, sueurs abondantes causes psychologiques : Inconscience, ignorance, dépression, anorexie, incurie ( manque de soin, laisser aller), confusion, désorientation, démence, trouble de la compréhension et de la communication, tentative de contrôle de l’incontinence causes fonctionnelles :
Mobilité réduite,
diminution des forces de la PA,
diminution de la capacité de coordination des gestes,
diminution de la capacité visuelle,
diminution de la capacité cognitive,
perte d’autonomie causes environnementales : Perte de repères, température extérieure en été, chauffage en hiver causes dues à une affection :
o maladie d’Alzheimer : perte du réflexe de boire, perte de repères et perte de mémoire
o incontinence urinaire o diarrhée, fièvre, vomissements o maladie aigue : fatigue+aliment = la PA boit ou ne boit plus
o problème neurologique : pb moteur, handicap, paralysie, trouble de la déglutition, dysphagie o dyspnée, polypnée ou tachypnée causes latrogènes (causé par des traitements médicaux ou médicaments) : o médicaments : diurétique, laxatifs, antibiotiques parfois diarrhéique
o intervention ou procédures diagnostiques qui nécessitent le jeûne o usage de lavements, restriction hydrique (pour trouble cardiaque)
o régime sans sel (pour trouble cardiaque)
3. signes cliniques Essentiellement : perte de poids, si excède 10% de la perte c’est une déshydratation majeure sensation de soif altérée persistance du pli cutané sécheresse muqueuse buccale réseau veineux s’aplatit hypotension liée à l’hypovolémie, diminution du volume sanguin = tachycardie fièvre, polypnée diminution du tonus musculaire hypotonie des globes oculaires, cernes troubles neuromusculaires (somnolence, trouble de la vigilance, agitation…) oligurie (PA n’urine plus) constipation perte d’appétit, asthénie, désintérêt Niveau biologique : déshydratation intracellulaire marquée par une hypernatrémie déshydratation extracellulaire
4. conséquences et complications perte accrue de la sensation de la soif Plus la déshydratation s’installe, plus PA ressent tardivement besoin de boire conséquences neurologiques : Altération du niveau de conscience, confusion, déclin cognitif, déclin fonctionnel, complication neuroischémique, hémiplégie, coma conséquences CV : Par diminution du flux sanguin et par hémoconcentration, infarctus, phlébite, accidents thromboembolique artériels et veineux, embolie pulmonaire. Conséquence rénale : Insuffisance rénale aiguë, infection urinaire Aggravation de broncho-pneumopathie par diminution des sécrétions bronchiques Surinfection Etat fébrile Escarres car manque d’eau entraîne une perte d’élasticité de la peau Chutes avec malaises par hypotension orthostatique = risque fractures Certaines de ces complications peuvent conduire au décès de la PA 5. traitements a. traitement préventif +++ action du rôle propre IDE o prévenir la perdition anormale de liquide Détection des situations à risque : altération au niveau cérébral, état délirant… Pour les détecter il faut faire une évaluation personnalisée des capacités physiques et psychiques de la PA. o Détection des facteurs d’aggravation Diminution de l’absorption = anorexie Augmentation des pertes liquidiennes = hypersudation, laxatif, diurétique… o Action de prévention ¾ Donner un apport liquidien de 1,5 à 2litres/jour ¾ Augmentation de l’apport d’aliments riches en eau ¾ Programmer des apports en petite quantité mais fréquente ¾ Augmentation des apports en eau si température extérieure élevée ou si chauffage, si fièvre, si patient sous traitement tel que diurétique ou laxatif ¾ Inciter la PA à boire en lui donnant des boissons diversifiées, adaptées à ses goûts • Eau, café, thé, choco, lait, jus de fruit • Penser que l’apport liquidien se fait aussi avec des potages ou bouillons de légumes • Donner sucré, salé selon les préférences • Varier chaud et froid ¾ Donner de l’eau gélifiée en cas de troubles de la déglutition ¾ Veiller à laisser le verre et la carafe à portée de main ¾ Remplir souvent le verre de la PA et la faire boire si nécessaire au cours de la journée car elle n’y pense pas ¾ Essayer de proposer les boissons dans de grands récipients car PA a tendance à boire ce qui lui est offert ¾ Travailler en collabo avec l’ergothérapeute pour pallier aux difficultés de la PA (verre spécial, canard avec bec…) ¾ Mesurer les quantités absorbées (carafe graduée…) ¾ Surveiller le poids régulièrement ¾ Surveiller la concentration et le volume des urines ¾ Surveiller l’état de la muqueuse buccale (spray buccal, glaçons, soins de bouche si nécessaire) ¾ Eduquer et informer la PA et son entourage sur l’importance de l’hydratation Si malgré toutes ces actions la PA ne boit pas ou peu, le signaler au médecin b. traitement curatif Savoir évaluer la déshydratation par la mesure du poids et l’étude du bilan des entrées et sorties des liquides Rôle IDE sur prescription ¾ Réhydrater progressivement la PA en plusieurs jours ¾ PA faiblement déshydratée : o Réhydratation par voie orale, s/c (face ext. de la cuisse) ¾ PA fortement déshydratée : o Réhydratation par voie s/c, IV, orale Parfois recours à la déshydratation par la pose de sondes gastriques en cas de reflux ou de fausse route ¾ Surveiller les effets de la réhydratation : o Disparition signes cliniques o Diurèse abondante o Normalisation du bilan sanguin Traiter la cause de la déshydratation
j'étais actif dans les sports et les cycles fréquents. Il y a quelques années, j'ai commencé à avoir mal au genou et mon médecin m'a conseillé de me faire remplacer la rotule. mais je n'ai pas cherché en ligne de remède à base de plantes, puis j'ai découvert le centre de plantes médicinales dr itua en ligne et j'ai commencé à prendre ses médicaments à base de plantes quotidiennement. à ma grande surprise, ma douleur a été soulagée en quelques semaines et le médecin m'a dit que je n'avais pas à me faire opérer. je suis heureux de laisser tout le monde ici sur les conditions de santé contacter dr itua herbal center sur drituaherbalcenter@gmail.com www.drituaherbalcenter.com. pour tous les types de plantes médicinales telles que la guérison de l'herpès, la guérison du vih, la guérison de la maladie de Parkinson, la guérison du diabète, la guérison du lupus, la guérison du VPH, la guérison de la ms, la guérison de la SLA, la guérison du cancer, les médicaments de grossesse à base de plantes. Dr Itua a tous ces remèdes à base de plantes pour toutes les maladies et c'est un remède permanent.